Vidéo : Lancement de notre série de vidéos « A l’Origine de l’Omega Seamaster »
A travers une série de vidéos, nous vous faisons découvrir pourquoi la première Omega Seamaster de 1948 était autant en avance pour son époque. Mais avant de lancer cette saga, un regard plus personnel sur la Seamaster avec la complicité de mon partenaire et ami de toujours, Alexander Friedman. Collectionner, c’est aussi partager.
Si la première Omega Speedmaster de 1957 brille au firmament des pièces ultimes sur le marché actuel de la collection, c’est en bonne partie grâce à la Seamaster de 1948. Avec cette première génération, Omega a défini les principaux standards de la montre professionnel pour les années à venir.
Dès lundi 10 décembre 2018, nous consacrons sur Watchonista une semaine entière pour célébrer le 70ème anniversaire de l’Omega Seamaster. Nous avons eu l’opportunité d’accéder aux archives et aux pièces de la collection du musée Omega de Bienne ainsi qu’àautres collections privées. Mais c’est surtout le captivant Petros Protopapas, Omega International Brand Heritage Manager qui vous révèlera tout sur la Seamaster.
Si nous avons décidé de creuser les origines de cette icone, mon intérêt n’y est pas étranger... Donc, pour initier cette série, nous vous proposons une approche plus singulière, autour de certaines pièces de ma collection. Pour me guider dans cet exercice périlleux, Alexander Friedman avec qui je partages depuis plus de 25 ans mon intérêt pour l’horlogerie.
Une collection qui commence par une Omega Seamaster
Au milieu des années 90, j’avais déjà le virus de la collection mais mon intérêt était principalement concentré sur le mobilier de XXème siècle et les objets du design industriel de la même époque.
Quand lors d’une brocante réputée en Suisse, je tombe en fascination devant... une montre. Oui une montre dont la sobriété et la lisibilité parlait à mon goût pour le fonctionnalisme. C’était une Omega Seamaster des années 60, que je possède encore et porte régulièrement, avec la même attraction pour son cadran et ses aiguilles moderniste en particulier. Je comprenais cet objet par ces qualités intrinsèques mais soyons clair, je n’avais pas de connaissances particulières en horlogerie.
En 1996, à la Bourse suisse d’horlogère à la Chaux-de-Fonds, je faisais face à un présentoir avec une trentaine de Seamaster sans bracelets, alignées et serrés les unes contre les autres. Au milieu de ce mélange d’époque, une boite a retenu mon attention par son allure plus robuste, son dessin plus épais, tout en affirmant une élégance et un style. C’était une pièce de 1948. Mais je ne l’ai appris que quelques années après, quand j’ai commencé à m’intéresser à ces montres dont visiblement j’avais débuté... une collection.
A l’origine de l’Omega Seamaster
En m’intéressant à l’Omega Seamaster, j’ai réalisé à quel point ce que j’appréciais dans le design se traduisait aussi par la technicité de cette montre. La définition du sport chic pour la montre bracelet, tant en or qu’en acier.
De ces origines militaires au services forces alliés, en passant par son design et son tardif logo, les origines de la Seamaster vous seront révélée dans une séries de 5 vidéos et deux articles. Et plus à venir... Happy Birthday Seamaster !
Enfin un grand merci à Omega et en particulier au musée Omega pour nous avoir ouvert ces portes et ces archives et ainsi permettre de vous offrir ces contenus exclusifs dès lundi 10 décembre 2018 sur Watchonista.